Une vaste étude génétique menée à l’Institut Lady Davis a révélé que l’obésité, plutôt que lapuberté précoce, pouvait influencer l’augmentation des taux de sclérose en plaques.
Montréal, le 20 mars 2019 — Des études précédentes avaient suggéré que les personnes qui commençaient la puberté à un âge plus précoce avaient un risque plus élevé de souffrir de sclérose en plaques (SP). Cependant, une nouvelle étude menée par le docteur Adil Harroud del’Institut Lady Davis (ILD) de l’Hôpital général juif (HGJ) a conclu que le lien entre la pubertéprécoce et la SP était principalement attribuable à l’obésité. L’étude est publiée dans le numéroen ligne du 20 mars 2019 de la revue Neurology, la revue officielle de l’American Academy of Neurology.
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